Comme toute frégate française qui se respecte lorsqu’elle va aux Mascareignes, j’ai passé le Cap de Bonne Esperance, en 1793.

La vue est magnifique, tant pour les uns que pour les autres: ici ce ne sont pas les vaches qui regardent les calèches, mais les manchots qui regardent les frégates; sachant qu’une frégate peut aussi regarder un manchot, on n’est pas aveugle !
Pour les vrais frégates en vol, mes concurrentes à plumes, il faudra attendre que j’arrive dans l’océan indien
Mais le Cap de Bonne Esperance est dangereux : c’est par là que navigue le Daedalus !
Et mon ennemi juré est toujours le Daedalus